Les ateliers d’imagination : pour imaginer le monde dans lequel on vit

Cet atelier est conçu pour tout le monde, même si les adultes ont plus de mal à concevoir que c’est aussi pour eux… La durée, les outils et les consignes s’adaptent en fonction de l’âge des participant·es, mais respectent toujours ce squelette :

1. choisir : d’inventer un monde idéal, ou de changer la fin de quelque chose qui s’est mal passé, ou de réaliser un rêve
2. choisir : écrire, dessiner, modeler, jouer une scénette / seul·e ou à plusieurs
3. montrer sa production à tout le groupe et en parler
A chacun de choisir s’il·elle souhaite donner une suite à l’atelier.

Pourquoi cet atelier ?

Ce qui est dit sur l’imaginaire est souvent à côté de la réalité. L’imagination est la seule façon qu’on a de penser avec toutes les composantes de la réalité. En particulier quand on est enfant et que l’abstraction n’est pas de mise.
Ce n’est pas parce que c’est dans notre tête que ce n’est pas réel d’ailleurs. On joue, on dessine, on modèle, on raconte et de ces représentations naissent une certaine réalité, celle qu’on va confronter à la vie qui se déroule.

Penser le monde ne se fait pas avec des explications, celles-ci peuvent venir à un moment opportun enrichir notre histoire, mais elles ne sont pas au point de départ. Au départ il y a une intuition, une envie, des présupposés, progressivement enrichis, contredits, confortés par des connaissances qu’on glane en fonction de nos besoins, et/ou du hasard.

Les enfants n’ont que l’imaginaire pour penser le monde autour d’eux et les adultes sont souvent démunis lorsqu’ils constatent que les petits leur posent des questions philosophiques ou politiques. A partir d’une question d’enfant on peut imaginer plein de réponses qui respectent les enfants, mais aussi se respecter soi : on aimerait que ça soit pas comme ça, pourquoi se résigner ? on peut imaginer, et si c’est dans notre tête, ça peut être vrai.

Comment le programmer ?

ecrire@verveineetpolitique.com
06 73 40 81 13

Les participant·es choisissent le mode d’expression et racontent leur histoire.
Ici c’est un bonhomme qui vit sous terre car il n’a pas les moyens de payer son électricité. Une solution a été trouvée ne vous inquiétez pas !