« Personne n’éduque personne, personne ne s’éduque seul, les hommes s’éduquent ensemble par l’intermédiaire du monde », Paolo Freire
C’est l’idée que nos expériences, notre vécu, les conflits qui sont inhérents à la vie sociale, sont source de savoir. Il faut les pratiques qui permettent de créer du savoir du fait de la « leçon » tirée des expériences, les moyens d’explorer les conflits pour se faire une opinion, les processus qui permettront de transformer ce savoir en force d’agir.
Quand on fait les stages de conf, on commence presque systématiquement par cet outil emprunté à Ricardo Montserrat : petite histoire et grande histoire.
C’est le moment où on apprend de sa propre expérience, et où on peut, si on veut en faire une conférence gesticulée, analyser sa propre trajectoire sociale.
C’est par ordre alphabétique !